Dîner Parisien Juin 06

C'est le mardi 27 juin que nous nous sommes retrouvés : soirée idéale, puisqu'un match de football oppose la France à l'Espagne. Nous serons donc tranquilles.

Et tranquilles, nous l'avons été : outre les impératifs familiaux (match), ou plus sérieusement bac, les changements de programme de dernière minute, le fait que nous nous y soyons pris au dernier moment, les occupations des uns, les oublis des autres, nous nous sommes retrouvés... 3 !

Mais avec cet avantage que nous étions dans une salle de restaurant vide....

Voici donc le résumé de la soirée - ce sera bref ;-)

19h27 : arrivée de Laurent N. (kalabash) chez moi.

20h15 : personne ne nous rejoignant, nous allons au restaurant, à Pigalle, retrouver François, comme prévu.

20h30 : retrouvailles, apéro.

Dîner Fumeurs de Pipe

20h40 : je sors une boîte de Rebecca, pensant trouver quelques membres qui n'avaient pas la chance de connaître ce mélange.

Laurent N. sort son pot de Rebecca.

François sort son échantillon de Rebecca.

J'avais également amené quelques belles pipes, mais Laurent et François les connaissent déjà, ils sont déjà venus chez moi. Bide.

21h15 : on commande.

21h27 : hurlements dans le restaurant d'en face, qui semble avoir une clientèle espagnole. Silence dans les cuisines. 1-0 pour l'Espagne

21h40 : on entame à peine l'entrée, les cuisiniers sont occupés à regarder la télé, et nous avons la preuve qu'ils soutiennent l'équipe de France. 1-1

22h37 : nouveaux hurlements, cette fois dans les cuisines, et dans la rue. François, surpris, manque de s'étrangler avec un rognon. 2-1 pour la France

22h45 : nous sommes toujours seuls dans le restaurant, hormis des touristes italiens, pas concernés ce soir. Laurent nous parle, je distingue les mots "Sara Eltang" au milieu des cris. 3-1

22h50 : nous demandons l'addition, ayant tous des occupations le lendemain matin de bonne heure. Une jeune femme, qui travaille dans une boutique à côté, nous dit que pour fêter ça, elle va nous faire la danse des sept voiles. D'un commun accord, nous décidons d'éviter les embouteillages et d'attendre encore un peu.

01h du matin : cette fois, il faut y aller : on se promet de refaire vite un dîner des membres du groupe.